- EAN13
- 9782918647669
- ISBN
- 978-2-918647-66-9
- Éditeur
- Goater
- Date de publication
- 27/10/2016
- Collection
- THEATRE
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 18,5 x 12 x 1 cm
- Poids
- 100 g
- Langue
- breton
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
14.00
Ce livre a deux sens de lecture. D’un côté Toilettes Publiques entièrement en français et de l’autre côté une version bilingue mélangeant les langues françaises et bretonnes Privezioù publik. C’est une pièce de théatre créée et interprêtée par la Compagnie Paritito de Brest.
Privezioù, en langue bretonne, ce sont les espaces privés. Les toilettes publiques sont donc en breton, littéralement, des privés-publics, espaces réservés à l’intime, au tabou et au caché, mais aussi réels espaces de rencontres et de la circulation anonyme, traversés par les failles visibles de la société : les frontières linguistiques, sociales, culturelles, les frontières sexualisées, les peurs du sale et de ce qu’on met dedans. Les odeurs des autres.
Dans ce lieu de confluence du public et des privés, les toilettes publiques d’une galerie marchande, quelque part en Bretagne, des femmes se croisent et se parlent. Ça vit, ça rit, ça clope, ça danse et ça se laisse pas faire. Ça s’échange des paroles impossibles et ça s’écoute comme ça peut. Ça parle en images et ça peint des silences. Ça se méprise et ça s’aime. Ça vivra jusqu’à demain.
Privezioù, en langue bretonne, ce sont les espaces privés. Les toilettes publiques sont donc en breton, littéralement, des privés-publics, espaces réservés à l’intime, au tabou et au caché, mais aussi réels espaces de rencontres et de la circulation anonyme, traversés par les failles visibles de la société : les frontières linguistiques, sociales, culturelles, les frontières sexualisées, les peurs du sale et de ce qu’on met dedans. Les odeurs des autres.
Dans ce lieu de confluence du public et des privés, les toilettes publiques d’une galerie marchande, quelque part en Bretagne, des femmes se croisent et se parlent. Ça vit, ça rit, ça clope, ça danse et ça se laisse pas faire. Ça s’échange des paroles impossibles et ça s’écoute comme ça peut. Ça parle en images et ça peint des silences. Ça se méprise et ça s’aime. Ça vivra jusqu’à demain.
S'identifier pour envoyer des commentaires.