Journal peau-rouge, mes libres voyages dans les réserves indiennes des États-Unis d'Amérique
EAN13
9782357910294
ISBN
978-2-35791-029-4
Éditeur
Atelier Fol'Fer
Date de publication
Collection
Collection Go West
Nombre de pages
252
Dimensions
20 x 14 cm
Poids
295 g
Langue
français
Code dewey
305.897
Fiches UNIMARC
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Journal peau-rouge

mes libres voyages dans les réserves indiennes des États-Unis d'Amérique

De

Atelier Fol'Fer

Collection Go West

Indisponible
Quand il publia, en 1975, ce Journal peau-rouge que nous retrouvons aujourd’hui, Jean Raspail le sous-titra : « Mes libres voyages dans les réserves indiennes des Etats-Unis d’Amérique ». Retenons ce mot : libres. Car ce Journal peau-rouge, qui venait contrebattre l’habituelle littérature indianiste du temps, est d’abord celui d’un homme libre. L’autre mot, c’est réserves. « Libres » et « réserves ». Quasiment un oxymore…« On est toujours le Peau-Rouge de quelqu’un » aime à dire Jean Raspail qui, toute sa vie, a écrit sur les minorités perdues, les peuples oubliés, voire disparus. C’est donc avec empathie qu’il était allé à la rencontre des Cherokees, des Crows, des Choctaws, des Sioux, des Cheyennes, etc. Sans pour autant, lui qui a écrit La Hache des steppes (où il partait à la recherche des Huns et des autres), déterrer la hache de guerre et charger encore un peu plus le fardeau de l’homme blanc.L’écrivain sioux Vine Deloria, lassé des indiâneries des bien-pensants, a écrit : « Un guerrier tué au combat peut toujours gagner les Heureux Terrains de Chasse. Mais où se rendra un Indien étendu pour le compte par un anthropologue ? À la bibliothèque ? »Qui se souvient des Hommes ? a naguère demandé Jean Raspail en mémoire et à la mémoire d’autres « Indiens » totalement disparus, eux. Qui se souvient des Indiens ? Eh bien, Jean Raspail qui, à la différence des anthropologues patentés, sort des sentiers battus. Sans s’embourber pour autant sur la piste des larmes.
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