- EAN13
- 9782843468841
- ISBN
- 978-2-84346-884-1
- Éditeur
- Coop Breizh
- Date de publication
- 12/02/2020
- Nombre de pages
- 284
- Dimensions
- 21 x 14 cm
- Poids
- 354 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Recueil de 60 contes regroupés par thématiques en 5 chapitres: Amour et aventures, Fées amantes et follets galants, L'éveil du cÅur, Récits facétieux et gaillards, D'amour et de mort. Outre les «â¯classiques⯻, Gérard Lomenec'h partage des pépites aujourd'hui introuvables pour le grand public.
Peut-on imaginer plus celtique que la fatale passion de Tristan et Iseut ? Le Moyen Âge a immortalisé d'autres amants légendairesâ: Lancelot du Lac et Guenièvre, Héloïse et Abélard. La tradition bretonne abonde en délicates sônes d'amour, en histoires de fées-amantes, en pronostics amoureux tirés des végétaux ou des fontaines. « Le cÅur d'une épouse aimante est une harpe », dit un poétique adage. Morte d'amour en sa tour, l'héritière de Keroulaz fait pleurer dans les chaumières de Cornouaille. À la veillée, lieu de séduction pour « mugueter » les filles, les contes révèlent les imaginaires sexuels ; on s'amuse de la demoiselle « qui n'a pas connu le loup » ou du mari cocu. Avec l'heure tardive du filaj, l'humour se fait volontiers gaillard, voire grivois. D'amour courtois en magie amoureuse, de sombres destinées en chemins de lumière : puisse ce voyage conté embrasser la diversité des univers amoureux des anciens Bretons.
Peut-on imaginer plus celtique que la fatale passion de Tristan et Iseut ? Le Moyen Âge a immortalisé d'autres amants légendairesâ: Lancelot du Lac et Guenièvre, Héloïse et Abélard. La tradition bretonne abonde en délicates sônes d'amour, en histoires de fées-amantes, en pronostics amoureux tirés des végétaux ou des fontaines. « Le cÅur d'une épouse aimante est une harpe », dit un poétique adage. Morte d'amour en sa tour, l'héritière de Keroulaz fait pleurer dans les chaumières de Cornouaille. À la veillée, lieu de séduction pour « mugueter » les filles, les contes révèlent les imaginaires sexuels ; on s'amuse de la demoiselle « qui n'a pas connu le loup » ou du mari cocu. Avec l'heure tardive du filaj, l'humour se fait volontiers gaillard, voire grivois. D'amour courtois en magie amoureuse, de sombres destinées en chemins de lumière : puisse ce voyage conté embrasser la diversité des univers amoureux des anciens Bretons.
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