- EAN13
- 9782140305177
- Éditeur
- Éditions L'Harmattan
- Date de publication
- 31/10/2022
- Collection
- Poètes des cinq continents
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Dire/& le silence qui reste
<em>suivi de</em> Autres dires
Michel Cossec
Éditions L'Harmattan
Poètes des cinq continents
Des tons, des nuances, des notes, l'arpège lexical chez Michel Cossec engendre
le rythme et le temps de la phrase. Le poème s'inscrit dans une architecture
[qui] provoque [une] lecture en profondeur, loin des habitudes linéaires : on
n'échappe pas à la mise en scène du texte, à sa ponctuation au sabre, à sa
scansion. Il y a aussi ces mélodies essentielles, visages, corps rêvés,
inventés dans la caresse du miroir, où l'aparté dialogue avec le silence, et
la possibilité du hasard. Jean-Claude Chenut Ici là on… va…« On » est un
[marcheur] qui erre une fois retirée la mer, les paysages de sable-sang et eau
mêlés. Il reste un paroxysme du dire qui échoue au silence. S'entend le
souffle par toutes les anfractuosités…La typographie est un autre passage pour
l'écoute des déchirures-rages de la langue cherchant les lisières du poème. En
ce recueil est convoquée l'émergence de langues des plus profondes résonances
avec le rythme des saisons. Philippe Tancelin
le rythme et le temps de la phrase. Le poème s'inscrit dans une architecture
[qui] provoque [une] lecture en profondeur, loin des habitudes linéaires : on
n'échappe pas à la mise en scène du texte, à sa ponctuation au sabre, à sa
scansion. Il y a aussi ces mélodies essentielles, visages, corps rêvés,
inventés dans la caresse du miroir, où l'aparté dialogue avec le silence, et
la possibilité du hasard. Jean-Claude Chenut Ici là on… va…« On » est un
[marcheur] qui erre une fois retirée la mer, les paysages de sable-sang et eau
mêlés. Il reste un paroxysme du dire qui échoue au silence. S'entend le
souffle par toutes les anfractuosités…La typographie est un autre passage pour
l'écoute des déchirures-rages de la langue cherchant les lisières du poème. En
ce recueil est convoquée l'émergence de langues des plus profondes résonances
avec le rythme des saisons. Philippe Tancelin
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