- EAN13
- 9782080445773
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 21/08/2024
- Collection
- Littérature française
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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En se rendant au musée de l’Orangerie, voici que, devant Les Nymphéas de
Monet, l’auteur est pris d’une crise d’angoisse. Contre toute attente, les
Grands Panneaux déclenchent chez lui un vrai malaise. Sans doute l’art doit-il
autant à l’artiste qu’au "regardeur" – mais encore ? Redevenant pour
l’occasion le détective Bmore, Grégoire Bouillier décide d’en avoir le cœur
net. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-
il enterré quelque chose ou même quelqu’un ? Et pourquoi des nymphéas, d’abord
? Pourquoi Monet peignit-il les fleurs de son jardin jusqu’à l’obsession – au
bas mot quatre cents fois pendant trente ans ? Obsession pour obsession,
commence alors une folle enquête qui, entre botanique, vie amoureuse de Monet
et inconscient de l’œuvre, mènera Bmore de l’Orangerie à Giverny en passant
par le Japon et même par Auschwitz-Birkenau, pour tenter d’élucider son
"syndrome de l’Orangerie". Lequel concerne plus de monde qu’on l’imagine.
Lequel dit qu’entre l’œil qui voit et la chose qui est vue, il y a un mystère
qui n’est pas seulement celui de la peinture.
Monet, l’auteur est pris d’une crise d’angoisse. Contre toute attente, les
Grands Panneaux déclenchent chez lui un vrai malaise. Sans doute l’art doit-il
autant à l’artiste qu’au "regardeur" – mais encore ? Redevenant pour
l’occasion le détective Bmore, Grégoire Bouillier décide d’en avoir le cœur
net. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-
il enterré quelque chose ou même quelqu’un ? Et pourquoi des nymphéas, d’abord
? Pourquoi Monet peignit-il les fleurs de son jardin jusqu’à l’obsession – au
bas mot quatre cents fois pendant trente ans ? Obsession pour obsession,
commence alors une folle enquête qui, entre botanique, vie amoureuse de Monet
et inconscient de l’œuvre, mènera Bmore de l’Orangerie à Giverny en passant
par le Japon et même par Auschwitz-Birkenau, pour tenter d’élucider son
"syndrome de l’Orangerie". Lequel concerne plus de monde qu’on l’imagine.
Lequel dit qu’entre l’œil qui voit et la chose qui est vue, il y a un mystère
qui n’est pas seulement celui de la peinture.
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